Mon bilan sport santé :
Pantin à travers le sport
Sur la base d’une cotisation annuelle, l’association propose une grande diversité d’activités (Yoga, pilates, aquafitness…) à destination de différents publics. Le montant de la cotisation prend en compte les bénéficiaires des minimas sociaux.
Informations et inscriptions :
01 48 10 05 19 / contact@pantinatls.fr
Piscine Alice Milliat
La piscine propose diverses activités dont des parcours aquafitness tous publics chaque mardi de 17h15 à 19h15. Il est possible de s’inscrire en cours d’année. Des tarifs réduits sont accessibles sous condition de ressources.
Informations et inscriptions :
01 83 74 56 60
Ville de Pantin (au départ des CMS)
La ville de Pantin organise des ateliers de marche nordiques encadrés par un enseignant APA ou une infirmière en pratique avancée, au départ des CMS Sainte Marguerite et du CMS Ténine. Les ateliers sont gratuits.
Informations et inscriptions :
Se renseigner à l’accueil des CMS
MSU de Bobigny
La Maison Sport Santé Universitaire de Bobigny propose des ateliers d’activité physique adaptée ouverts à tous les publics, animés par des enseignants APA. Une participation financière minime est demandée.
Informations et inscriptions :
06 28 08 68 69 – maisonsportsante.bobigny@gmail.com
FSGT93 (Bobigny)
La FSGT 93 propose des ateliers d’activité physique adaptée animés par des enseignants APA, à destination des adultes (le samedi matin) et des jeunes (les mercredis après-midi). Une participation financière minime est demandée.
Informations et inscriptions :
07 45 25 05 69 – ncolaviti@fsgt93.fr
Le Prisme (Bobigny)
Ce tout nouveau complexe à proximité de l’hôpital Avicenne, pensé par et pour les habitants de Seine-Saint-Denis, permet à chacune et chacun d’accéder à la pratique sportive à des tarifs souvent accessibles.
Informations et inscriptions :
01 82 30 02 61
hello-accueil@leprisme-seinesaintdenis.fr
Tout ce qu’il faut savoir sur l‘APA et la prescription d’activité physique adaptée, CPAM 93
Question de recherche
La prescription d’activité physique par le médecin généraliste : qu’en attendent les patients ? Une étude qualitative dans le cadre d’un programme local de sport sur ordonnance de la ville de Pantin
Objectif
Nous avons cherché à déterminer les représentations des patients pantinois concernant la prescription d’activité physique et sa mise en pratique dans notre programme de sport sur ordonnance.
Méthode
Nous avons mené une étude qualitative consistant en des entretiens semi-dirigés dont la structure a été élaborée à partir d’une bibliographie sur l’activité physique. Les entretiens ont été menée en exploitant la technique de l’entretien compréhensif . La saturation des données et la triangulation nous ont permis de proposer une réponse fidèle ancrée offrant sens à notre matériel.
Résultats
L’activité physique est vue comme valeur transmise, source de bonne santé dans tous ses aspects. Elle se pratique dans le respect des limites et de façon encadrée. L’accessibilité au plus grand nombre dépend de facteurs pratiques (coût, offre, visibilité…). Il nous faut bien connaître le patient et déployer tous les atouts de notre programme (suivi adaptatif, promotion ciblée…) pour assurer le changement. Ils cherchent à acquérir les compétences de l’autonomie dans la pratique de l’activité physique pour leur santé.
Conclusion
Cette étude a permis d’établir les pistes d’amélioration pour favoriser la mise en place de programme de sport-santé les plus à même de remporter leur adhésion.
Question de recherche
La prescription d’activité physique par le médecin généraliste : qu’en attendent les patients ? Une étude qualitative dans le cadre d’un programme local de sport sur ordonnance de la ville de Pantin
En synthèse
L’étude montre le faible taux de la prescription de l’APA en Seine-Saint Denis par le médecin généraliste pour les patients atteints de diabète de type 2. Ce résultat donne matière à penser. Il faut donc poursuivre l’investigation pour déterminer si les résultats sont corrélés à la spécificité du département 93 avec un taux élevé de précarité des populations, ou s’ils sont équivalents dans toute la France. C’est ainsi que notre recherche pourrait être complétée par d’autres, appliquées à d’autres départements afin d’interroger plus précisément le taux de prescription de l’activité physique et de répondre à d’autres questionnements.
Dans ce sens, la prescription de l’APA est-elle en lien avec l’indice de pauvreté ? Le médecin généraliste a-t-il besoin d’un complément d’information concernant la prescription de l’APA pour ses patients diabétiques ?
La forte médiatisation de l’activité physique comme critère de bien-être pour la santé de chacun, dans les magazines, à la télévision, dans les spots publicitaires n’encourage-telle pas le médecin généraliste à ce type de prescription ? Les recherches médicale et pharmacologique ont un rôle décisif à jouer dans ce domaine.
Agir pour la santé des populations
Ensemble, contribuer à la continuité des parcours de santé, de soins et de vie